La crise sanitaire puis la crise Ukrainienne ont mis en lumière le déclin industriel de la France : la dépendance de notre pays dans un système de chaînes d’approvisionnement mondialisées et les risques de mise à l’arrêt des entreprises, portant un coup d’arrêt brutal à l’investissement, dans des territoires déjà souvent affectés par la désindustrialisation. Une situation qui interroge la souveraineté de la France.
Face à l’urgence, des solutions émergent pour favoriser les investissements et une action rapide au plus près des territoires. Les villes se retrouvent au cœur de ces débats : dans une logique de circuit court et/ou de cercle vertueux, la ville concentre les besoins, les problèmes mais aussi les moyens et donc les solutions…
Placée symboliquement au cœur de la cérémonie d’ouverture de prochain JO Paris 2024, la Seine également, peut être source de projets et de développement. Transport multimodaux et portuaires, logistique, industrie, agriculture, loisirs, environnement : la Seine est une ouverture sur le monde, un atout, un continuum qui relie le pays au reste du monde.
À la nécessaire reconquête de la souveraineté industrielle, s'ajoutent les défis climatiques et environnementaux qui imposent de penser l’industrie de demain et son intégration dans les territoires.
Il devient donc indispensable d’avoir une nouvelle perception de la « ville productive » pour qu’une réindustrialisation soit à la hauteur des défis de la transition écologique et des besoins sociaux et économiques. Mais si un consensus existe sur la nécessité de la réindustrialisation, l’acceptabilité des citoyennes et citoyens est le chantier de cette décennie.
Comment reconstruire un tissu industriel affaibli par 50 ans de désindustrialisation ?L’industrie a-t-elle encore une place dans nos sociétés ? Comment travailler leur acceptabilité auprès des populations et la gestion des risques ? Comment rapprocher la production et les zones de consommations dans une logique de circuits courts ? Comment développer la logistique du premier et du dernier kilomètre ?
Face à l’urgence, des solutions émergent pour favoriser les investissements et une action rapide au plus près des territoires. Les villes se retrouvent au cœur de ces débats : dans une logique de circuit court et/ou de cercle vertueux, la ville concentre les besoins, les problèmes mais aussi les moyens et donc les solutions…
Placée symboliquement au cœur de la cérémonie d’ouverture de prochain JO Paris 2024, la Seine également, peut être source de projets et de développement. Transport multimodaux et portuaires, logistique, industrie, agriculture, loisirs, environnement : la Seine est une ouverture sur le monde, un atout, un continuum qui relie le pays au reste du monde.
À la nécessaire reconquête de la souveraineté industrielle, s'ajoutent les défis climatiques et environnementaux qui imposent de penser l’industrie de demain et son intégration dans les territoires.
Il devient donc indispensable d’avoir une nouvelle perception de la « ville productive » pour qu’une réindustrialisation soit à la hauteur des défis de la transition écologique et des besoins sociaux et économiques. Mais si un consensus existe sur la nécessité de la réindustrialisation, l’acceptabilité des citoyennes et citoyens est le chantier de cette décennie.
Comment reconstruire un tissu industriel affaibli par 50 ans de désindustrialisation ?L’industrie a-t-elle encore une place dans nos sociétés ? Comment travailler leur acceptabilité auprès des populations et la gestion des risques ? Comment rapprocher la production et les zones de consommations dans une logique de circuits courts ? Comment développer la logistique du premier et du dernier kilomètre ?
En présence de :
- Jean-Philippe DUGOIN-CLÉMENT, Président de Grand Paris Aménagement, Président de l’Etablissement Public Foncier d’Ile-de-France (EPFIF), Maire de Mennecy, Vice-président de la Région Île-de-France.
- Denis ÖZTORUN, Maire de Bonneuil-sur-Marne, Vice-président de Grand Paris Sud Est Avenir
- Bruno PIRIOU, Maire de Corbeil-Essonnes